PORTRAIT
Delphine Vaisset
Dès ma plus tendre enfance, je m’ouvre à de premières expériences artistiques, mes parents ayant alors à cœur d’aiguiser ma créativité et ma curiosité. C’est à l’adolescence que je découvre la photographie argentique. Une révélation qui transformera ma vie…
Très vite, cette activité devient une véritable passion au travers de laquelle je peux m’exprimer, me révéler et m’épanouir pleinement.
J’approfondis alors mes connaissances et poursuis avec deux formations : la première en photographie, la seconde en photojournalisme. Durant cinq années, je vais réaliser divers reportages et projets photographiques. Une nouvelle approche de cet art qui m’amène à développer l’écoute, l’échange, le partage et le soutien.
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Delphine Vaisset
Dès ma plus tendre enfance, je m’ouvre à de premières expériences artistiques, mes parents ayant alors à cœur d’aiguiser ma créativité et ma curiosité. C’est à l’adolescence que je découvre la photographie argentique. Une révélation qui transformera ma vie…
Très vite, cette activité devient une véritable passion au travers de laquelle je peux m’exprimer, me révéler et m’épanouir pleinement.
J’approfondis alors mes connaissances et poursuis avec deux formations : la première en photographie, la seconde en photojournalisme. Durant cinq années, je vais réaliser divers reportages et projets photographiques. Une nouvelle approche de cet art qui m’amène à développer l’écoute, l’échange, le partage et le soutien.
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Delphine Vaisset
Dès ma plus tendre enfance, je m’ouvre à de premières expériences artistiques, mes parents ayant alors à cœur d’aiguiser ma créativité et ma curiosité. C’est à l’adolescence que je découvre la photographie argentique. Une révélation qui transformera ma vie…
Très vite, cette activité devient une véritable passion au travers de laquelle je peux m’exprimer, me révéler et m’épanouir pleinement.
J’approfondis alors mes connaissances et poursuis avec deux formations : la première en photographie, la seconde en photojournalisme. Durant cinq années, je vais réaliser divers reportages et projets photographiques. Une nouvelle approche de cet art qui m’amène à développer l’écoute, l’échange, le partage et le soutien.
C’est alors le déclic !
Je prends conscience qu’à travers mon appareil, les personnes photographiées se libèrent, se confient sans crainte du jugement et portent un autre regard sur elles-mêmes.
La maladie qui affecte ma mère quelque temps après me conforte dans cette idée : en prenant des clichés de cette personne qui m’est si chère, je peux exprimer et déposer simplement des souffrances enfouies au plus profond de mon être. J’apprends à les dépasser.
Cette nouvelle découverte résonne en moi comme un appel. Je deviens bénévole à « l’Atelier des patients », en 2015, un atelier d’expression et de création à l’hôpital Foch de Suresnes (région parisienne). J’y suis employée l’année suivante et me forme également au Journal créatif© afin d’élargir mon champ de compétences.
Tout en poursuivant ce parcours, j’intègre la Faculté de Médecine Paris Descartes et en sors diplômée en art-thérapie en 2018. L’Atelier de la Chrysaline voit le jour l’année suivante. Finalement, forte de sept années d’accompagnement thérapeutique de diverses pathologies, je décide de me consacrer entièrement à mon métier à travers mon activité libérale.
J’interviens aussi dans l’association « Médecins de l’imaginaire » en soutien de personnes (de l’enfant à l’adulte) atteintes de cancer, de maladies graves ou encore chroniques.
L’Atelier de la Chrysaline
L’Atelier de la Chrysaline, c’est…
C’est